Abstract
Écrite à Berlin dans le cadre d’une bourse d’écriture de la villa Médicis hors les murs, Juste la fin du monde, semble être le fruit d’un travail acharné et difficile, ainsi qu’on peut le lire dans le Journal, par exemple le 26 mai 1990 : J’ai un peu avancé sur Quelques éclaircies que je songe à rebaptiser Juste à la fin du monde. […] Et puis, je bute à nouveau, je pense qu’il y a là quelque chose d’important, tout près que je n’arrive pas à atteindre. C’est la première fois que je prends les...