La garduña de Sevilla: picaresca, cortesana y ¿comercial?

Abstract
Cet article étudie la dernière œ uvre narrative de Castillo Solórzano. Sont analysés l'élément picaresque, les nouvelles insérées dans la vie de la pícara Rufina, ainsi que le thème amoureux, la structure et le concept d'exemplarité-moralité. On conclut que cet écrivain, qui avait cultivé tous les genres, compose finalement La garduña de Sevilla (1642), comme un produit littéraire commercial, lorsque la veine picaresque est déjà épuisée, et obtient le succès du public, comme le montrent les éditions successives et les traductions de La Garduña.