Routine versus selective intra‐operative cholangiography during laparoscopic cholecystectomy

Abstract
Opinion is divided whether intra-operative cholangiography should be performed routinely or on a selective basis during laparoscopic cholecystectomy. We therefore performed the first prospective randomized trial of static cholangiography in patients who did not have indications for cholangiograms. Laparoscopic cholecystectomy was attempted on 164 consecutive patients, of whom 49 (30%) patients were excluded from the trial due to indications for or against cholangiography. In the remaining 115 (70%) patients, 56 were randomized to the cholangiography group while 59 patients did not receive cholangiograms. Duration of postoperative hospitalization and interval to return to full activity were identical in the two groups. Static cholangiograms added 16 ± 1 min (mean ± SEM) to the procedures (p<0.01). Cholangiography increased the total charges for the operation by almost $700 (p<0.01). Cholangiograms were performed successfully in 94.6% of the patients and changed the operative management in 4 (7.5%) patients. There was 1 (1.9%) false negative study. Intra-operative cholangiography did not reveal aberrant bile ducts at risk of injury from the operative dissection. There was no mortality or cholangiogram-related morbidity in either group. In follow-up ranging from 2–12 months, there has been no clinical evidence of bile duct injury or retained common bile duct stones. In summary, in patientswithout indications for cholangiography, the performance of static cholangiograms markedly increased the operative time and cost of laparoscopic cholecystectomy. The operative management of a minority of patients was changed by the information obtained, but laparoscopic cholecystectomy may be performed safely in the absence of cholangiograms with little risk of injury to the major ductal system or retained calculi. Les avis sont partagés quant à la pratique systématique, ou seulement élective, d'une cholangiographie lors de la cholécystectomie coelioscopique. Nous avons mené le premier essai randomisé prospectif de cholangiographie peropératoire chez des patients n'ayant pas d'indication formelle de cholangiographie. Dans une série de 164 cholécystectomies coelioscopiques consécutives, 49 patients (30%) ont été éliminés de l'étude parce qu'il existait une indication ou une contreindication formelles à la cholangiographie peropératoire. Les 115 patients restants (70%) ont été randomisés; 56 ont eu une cholangiographie alors que 59 n'ont pas eu de cholangiographie peropératoire. La durée de l'hospitalisation postopératoire et le délai entre l'intervention et la reprise de travail étaient similaires dans les deux groupes. La cholangiographie a prolongé l'intervention de 16 ± 1 min (moyenne ± écart type de la moyenne) (p<0.01). Le coût supplémentaire d'une cholangiographie peropératoire a été estimé à environ 700 $ US (p<0.01). La cholangiographie a pu être effectuée chez 94.6% des patients, et celle-ci a changé la tactique opératoire chez 4 (7.5%) patients. Il y a eu un résultat faussement négatif (1.9%). La cholangiographie peropératoire n'a pas montré d'anomalie anatomique des voies biliares pouvant les compromettre lors de la dissection. La mortalité a été nulle dans chaque groupe. De même, il n'y a eu aucune morbidité en rapport direct avec la cholangiographie. Dans la période du suivi allant de 2 à 12 mois, il n'y a eu acune lésion biliaire ni de lithiase résiduelle de la voie biliaire cliniquement évidentes. En conclusion, chez un patientsans indication formelle de cholangiographie, la réalisation d'une cholangiographie peropératoire augmente considérablement la durée et le coût de l'intervention. La tactique opératoire a été très peu influencée très peu par les donées de la cholangiographie. La cholécystectomie coelioscopique peut être réalisée sans cholangiographie peropératoire systématique sans augmenter pour autant le risque de lésions des voies biliaires ou de calcul résiduel. Las opiniones se encuentran divididas respecto a si se debe realizar colangiografía intraoperatoria en forma rutinaria o en forma selectiva en el curso de una colecistectomía laparoscópica. Por ello hemos realizado el primer estudio aleatorizado de colangiografía estática en pacientes que no tenían indicaciones para colangiograma. Se intentó la colecistectomía laparoscópica en 164 pacientes consecutivos; 49 (30%) fueron excluidos debido a indicaciones en favor o en contra de colangiografía. Los otros 115 pacientes (70%) se repartieron al azar 56 a colangiografía y 59 al grupo de no colangiografía. La duración de la hospitalización postoperatoria y del tiempo de retorno a actividad normal fueron idénticos en los dos grupos. Los colangiogramas estáticos añadieron 16 ± 1 min. al procedimiento (p<0.01) y elevaron el costo de la operación en $700 (p<0.01). Los colangiogramas fueron exitosamente realizados en 49.6% de los pacientes y modificaron el manejo operatorio en 4 (7.5%); hubo un falso positivo (1.9%). La colangiografía intraoperatoria no reveló la prescencia de canales biliares aberrantes en riesgo...

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