Abstract
La finance participative est peu connue, surtout au niveau de certaines techniques avec des structures compliquées, de même, les clients bancaires musulmans ne sont pas seulement motivés par la religion, le rendement se présente aussi comme un facteur essentiel pour certains segments. Par conséquent, les banques participatives doivent veiller à une bonne combinaison des facteurs entrant dans l’élaboration et la commercialisation du produit. Notamment, les directives réglementaires, l’éducation et la sensibilisation des clients et le facteur personnel. La communication doit être intensifiée pour promouvoir la finance participative en s’appuyant sur ces valeurs éthiques et religieuses englobées dans la doctrine musulmane. Elle doit aussi veiller à une formation adéquate du personnel. Entant qu’un facteur important dans la communication des comptes d’investissement de partage de profit et de perte, ce dernier doit être sensibilisé est cultivé à-propos de son importance dans la contribution à la promotion du produit. Le personnel doit communiquer et expliquer le fonctionnement du produit avec tout engagement et responsabilité. Notamment la bonne explication des réserves qui mettent en cause souvent la conformité à la « charia » du compte.