Abstract
La problématique de la qualité de la gouvernance des entreprises, quelque soit leur nature d’activité, statut/ secteur juridique ou leur taille, a fait objet de plusieurs interrogations sur son impact sur la croissance et de développement économiques. Etant considérée comme investissement immatériel, la question de la gouvernance évoque certains éléments constituant des actifs immatériels créateurs de la valeur. Notre propos va porter sur les piliers additifs de l’économie du savoir où la bonne gouvernance et le management stratégique constituent deux facteurs décisifs dans le processus de développement durable. Notre travail sera argumenté par une partie empirique sur le degré d’insertion de l’entreprise algérienne dans la nouvelle logique économique fondée sur le savoir, ainsi que par une partie d’une analyse empirique portant sur les risques de l’innovation dans l’entreprise algérienne.