Abstract
L’ouvrage de Hans Esselborn n’est pas une histoire de la science-fiction allemande. Ce serait doublement vain, d’une part parce que la science-fiction comporte de multiples sous-genres, fantasy, cyberpunk, space-opera etc., et d’autre part parce qu’elle ne saurait être détachée, ni du terreau, ni des interférences voire des hybridations avec les productions du même type d’autres aires linguistiques et culturelles. L’étude d’Esselborn se focalise sur la littérature, essentiellement sur le roma...